Déjà, AMD réaffirme que le RSR sera disponible avant la fin du trimestre par le biais de ses pilotes Adrenalin. En outre, cette séquence promotionnelle contient une petite séquence du jeu Warframe. Elle clame une hausse des performances de 70 % par rapport au rendu natif grâce au RSR. Dans les faits, la techno upscale les images 1440p pour les passer en définition 4K. Comme souvent, on suppose que c’est du « jusqu’à » 1,7x ; autrement dit, le gain maximal à espérer. Il est probable qu’à l’instar du FSR et du DLSS de NVIDIA, le RSR propose différents niveau de réglages allant de « qualité » à « performance ».
Moins agréable à l’œil que le FSR ?
Concernant la mise en œuvre du RSR, on peut le présenter comme un FSR globalisé grâce à une mise à l’échelle effectuée plus en aval dans le pipeline graphique. Ainsi, alors que le FSR nécessite une implémentation de la part des développeurs pour chaque jeu, ce qui entrave forcément son adoption, le RSR promet d’être bien plus universel, étant géré directement par les pilotes AMD. La contrepartie, c’est que le FSR permet d’afficher les ATH et autres éléments textuels en résolution native, alors que le RSR opère une mise à l’échelle de tous les éléments, pour un résultat final potentiellement moins agréable.
Pour terminer, les notes affichées en fin de vidéo précisent qu’en l’état, le RSR n’est géré que par les cartes graphiques AMD RDNA (Radeon RX 5000) et RDNA 2 (Radeon RX 6000).