Presque quatre ans après la sortie du précédent opus c’est le grand jour, Doom Eternal débarque sur PC, PlayStation 4 et Xbox One. On connaît les configurations minimales et recommandées depuis plusieurs semaines, mais bien entendu, seuls les tests en situation réelle donnent une idée précise des performances. Le site DSOGaming propose déjà le sien. Notez que le titre d’id Software utilise le moteur id Tech 7 et tourne sous l’API Vulkan. Le jeu bénéficie de pléthore d’options graphiques et laisse une belle marge de manœuvre pour personnaliser l’ATH. En revanche, il ne propose pas de benchmark intégré. Par conséquent, notre confrère John Papadopoulos a utilisé une même séquence mettant en scène un affrontement contre plusieurs ennemis. Elle se situe dans le premier niveau. La configuration utilisée embarque 16 Go de DDR4-3600 et fonctionne sous Windows 10 64-bit.
Pour les processeurs, Doom Eternal est encore moins gourmand que Call of Duty Warzone. En Full HD, un simple double cœur sans Hyper Threading dépasse allègrement les 60 ips avec une RTX 2080 Ti, avec un nombre moyen d’ips de 110. Si une puce quatre cœurs / quatre threads bride très légèrement les performances, cela n’est plus le cas dès un processeur quatre cœurs / huit threads.
Une RX 580 tient les 60 ips en Ultra
En ce qui concerne les GPU, une GTX 680 fait l’affaire pour du 30 ips en Ultra en 1080p. Une RX 580 atteint les 70 ips en moyenne dans les mêmes conditions. Toutefois, pour du 120 ips ou des définitions plus élevées, il faut logiquement une carte plus haut de gamme ou faire quelques concessions sur les détails graphiques.
À l’évidence, ce Doom Eternal a fière allure, que ce soit grâce à ses textures en très haute résolution ou la qualité de ses effets. En outre, id Software a fait du très bon travail, puisque comme le prétend John Papadopoulos, il s’agit ni plus ni moins de « l’un des jeux les mieux optimisés que nous ayons jamais vu sur PC ».